After a first try abort due to a windy day, a second because of an avalanche, the third has been the occasion to encounter a very cold day. The whole group going up (with groups coming from Argentina and Spain) has stopped their effort around 7800/ 7900m and has decided to come back to the camp.
Dealing with a weather window, she left at 4am to the summit and after 13 hours of climbing since camp 3, tired to walk in a deep snow, she stopped a moment to add socks. As a prevention against these cold conditions, she got a stove in the bag and use it to dry her first socks she wears. At that time she saw her toes starting to be frozen so she decided to go down to camp 3 where the others groups joined her few times later. Her actual co-climber decided to give up. Her current planning is to wait for a possible weather window on the 18th with a new climbing partner to help her to walk in the deep snow. If the new attempt does not succeed, she will join an international group of climber to climb K2 and will come back to Broad Peak later as she knows the way to the summit since her last summit push.
Everything is going well, and she has not forgotten one of her motto: "Go up is an option, go down is mandatory".
Depuis que Sophie fait de l'alpinisme, une de ses craintes est de se geler les doigts, des mains ou des pieds. Après une première montée arrêtée pour cause de vents, une seconde suite à une avalanche qui a emporté son matériel au camp 3, cette fois c'est le froid qui a eu raison vers 7800/ 7900m de tous les groupes qui montaient.
Sophie s'est rapprochée de groupes argentins et espagnols. Espérant une amélioration de la météo, elle est partie vers le sommet à 4H00 du matin et après 13h d'ascension depuis le camp 3, fatiguée caril fallait se relayer pour faire la trace dans la neige, elle s'est arrêtée pour mettre des chaussettes supplémentaires et comme, par precaution et malgré le poids supplémentaire, elle avait emporté aussi un réchaud, elle a seché celles qu'elle avait. C'est alors qu'elle a aperçu un début de gelure de son gros orteil. C'est pourquoi elle a décidé de redescendre au camp 3, où elle a été rejointe par les autres groupes qui ont finalement renoncé. Son partenaire abandonne et son programme actuel est d'attendre une nouvelle opportunité vers le 18 juillet en embauchant quelqu'un qui pourra l'aider à faire la trace dans la neige. Si cela ne se fait pas, elle envisage de rejoindre un groupe d'une vingtaine d'alpinistes et de revenir éventuellement sur le Broad Peak maintenant qu'elle "connait le chemin". internationaux sur le K2
Elle a un moral d'enfer et est très fiere d'avoir géré cette montée en prenant les bonnes décisions.
Dealing with a weather window, she left at 4am to the summit and after 13 hours of climbing since camp 3, tired to walk in a deep snow, she stopped a moment to add socks. As a prevention against these cold conditions, she got a stove in the bag and use it to dry her first socks she wears. At that time she saw her toes starting to be frozen so she decided to go down to camp 3 where the others groups joined her few times later. Her actual co-climber decided to give up. Her current planning is to wait for a possible weather window on the 18th with a new climbing partner to help her to walk in the deep snow. If the new attempt does not succeed, she will join an international group of climber to climb K2 and will come back to Broad Peak later as she knows the way to the summit since her last summit push.
Everything is going well, and she has not forgotten one of her motto: "Go up is an option, go down is mandatory".
Depuis que Sophie fait de l'alpinisme, une de ses craintes est de se geler les doigts, des mains ou des pieds. Après une première montée arrêtée pour cause de vents, une seconde suite à une avalanche qui a emporté son matériel au camp 3, cette fois c'est le froid qui a eu raison vers 7800/ 7900m de tous les groupes qui montaient.
Sophie s'est rapprochée de groupes argentins et espagnols. Espérant une amélioration de la météo, elle est partie vers le sommet à 4H00 du matin et après 13h d'ascension depuis le camp 3, fatiguée caril fallait se relayer pour faire la trace dans la neige, elle s'est arrêtée pour mettre des chaussettes supplémentaires et comme, par precaution et malgré le poids supplémentaire, elle avait emporté aussi un réchaud, elle a seché celles qu'elle avait. C'est alors qu'elle a aperçu un début de gelure de son gros orteil. C'est pourquoi elle a décidé de redescendre au camp 3, où elle a été rejointe par les autres groupes qui ont finalement renoncé. Son partenaire abandonne et son programme actuel est d'attendre une nouvelle opportunité vers le 18 juillet en embauchant quelqu'un qui pourra l'aider à faire la trace dans la neige. Si cela ne se fait pas, elle envisage de rejoindre un groupe d'une vingtaine d'alpinistes et de revenir éventuellement sur le Broad Peak maintenant qu'elle "connait le chemin". internationaux sur le K2
Elle a un moral d'enfer et est très fiere d'avoir géré cette montée en prenant les bonnes décisions.
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